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一緒に年をとらない

La légende raconte que Maurice Pialat a attendu de posséder sa caméra pour tourner car il ne voulait dépendre d’aucun producteur. Ce cinéaste aura fait des films jusqu’à sa fin, qu’importe les critiques. Vindicatif, froid et pourtant, parait-il débordant d’amour. Il lève le voile sur nos colères.

[quote]Si vous ne m’aimez pas, sachez que je ne vous aime pas non plus[/quote]

a déclaré Maurice Pialat quand Sous le soleil de Satan est passé à Cannes.

Ce soir j’ai envie de revoir tous ses films. D’abord un court-métrage, L’Amour existe, pour me prendre un discour lancinant sur ce que j’ai pu éviter. Puis À nos amours, pour lui et Sandrine Bonnaire, si fraiche et déjà complêtement investie.

Celui que je voudrais découvrir c’est Le Garçu, je m’en veux de ne l’avoir jamais vu, mais que font les Pirates sur leur foutue Bay ?

Ah! Merci à ceux échoués sur youtube 🙂

Après vision je retrouve ce qui me plait chez Pialat: sa franchise, en particulier avec les femmes, sa simplicité dans l’amitié et l’échange de points de vue; Un père tout bonnement.

再び
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